Découvrez le film produit par la Ville de Talmont-Saint-Hilaire en Vendée pour faire la promotion de notre pays talmondais.
Archives pour la catégorie découverte
Sortie dans le Morbihan
Le samedi 14 septembre les amis du château et du patrimoine talmondais vous proposent une balade en Bretagne . Ils restent quelques places !
- le matin visite de la Roche-Bernard puis déjeuner au restaurant .
- puis départ de Port-Navalo pour une promenade en bateau dans le golfe du Morbihan jusqu’à Auray avec un gouter à St Goustan.
Prix 75 € (tout compris)
Plus d’infos et réservation au 02 51 96 05 58

Le vieux port de la Roche-Bernard. Source: http://fr.topic-topos.com/vieux-port-la-roche-bernard
La piste cyclable Bourgenay-La Guittière est ouverte !
La piste cyclable reliant à Talmont Saint Hilaire le Port Bourgenay à La Guittière est ouverte ! Tous les travaux ne sont pas terminés mais vous pouvez l’emprunter sans problème pour traverser les marais et le Payré afin de rejoindre La Guittière en partant de Port Bourgenay. Cette piste est le prolongement logique de celle reliant les Sables d’Olonne au port talmondais en longeant la côte sauvage. Dans un avenir proche un tronçon reliant la Guittière à Jard sur Mer ouvrira de nouvelles destinations pour les promeneurs qui pourront ainsi longer le littoral vendéen du nord au sud.
Sur cette nouvelle voie réservée aux piétons et aux cyclistes le promeneur abandonnera la côte pour découvrir les marais talmondais de l’estuaire du Payré. Nous vous proposons de découvrir ici le parcours dans le sens Bourgenay vers la Guittière jusqu’à Cul d’Âne (non pas d’erreur, c’est bien le nom du lieu-dit…). La suite du parcours jusqu’à la Guittière sera proposée dans un prochain billet.
De Bourgenay empruntez la route menant à la plage du Veillon puis après le camping St Hubert prenez à gauche pour vous diriger vers le château du Veillon en logeant la forêt de chênes verts. Continuez sur cette route en quittant la forêt et en descendant vers le marais. Laissez sur votre droite la piste ostréicole et passez sur le petit pont franchissant le bras des Hautes Mers. Le départ de la piste est à 50m à droite après ce pont. Si vous venez en voiture attention il n’y a pas beaucoup d’endroits pour se garer le long de la route étroite. Rançon du succès dimanche dernier beaucoup de voitures garées n’importe où, il serait bien qu’un parking soit aménagé pour faciliter le stationnement de ces véhicules.
Comme toujours n’hésitez pas à cliquer sur les photos pour les agrandir.Plan du parcours (Source IGN)
Le départ de la piste est bien balisé (repaire 1 du plan)
2) Vous emprunterez un chemin bien stabilisé longeant les marais (repaire 2 du plan).
Vous y trouverez de nombreux points d’observation sur le marais. Photographes animaliers et ornithologues y trouveront de bons postes d’affut .
Vous pourrez y découvrir de belles vues sur le château du Veillon
La largeur de la piste facilite la cohabitation des cyclistes avec les piétons
3) La piste bien plate serpente entre les marais et les champs (repaire 3 du plan).
4) La piste stabilisée se termine en arrivant à hauteur du chenal du Payré. Vous partirez sur votre droite pour emprunter le chemin sur la digue du chenal (repaire 4 du plan).
Les marais sont utilisés en pâturage pour les troupeaux
où comme marais à poissons
5) Les esseilles essaïes, sorte de vannage, permettent de réguler l’eau entre les marais et le Payré (repaire 5 du plan).
J‘avais un doute sur l’orthographe exacte du mot “esseille” , si un lecteur la connait merci de me la communiquer. J’ai depuis trouvé sur le site de la ville de Talmont Saint Hilaire l’orthographe en patois vendéen et la définition de l’essaïe. Et dans la thèse de François Paticat “Flux et usages de l’eau de mer dans les marais salés endigués charentais: cas du marais salé endigué de l’ile de Ré” le glossaire mentionne “Essai : Ouvrage de prise d’eau reliant le chenal d’alimentation et le vasais”. Etant en Vendée je retiens l’orthographe essaïe.
Mouettes, canards, échassiers et autres oiseaux fréquentant ces marais vous pourrez tout le long du parcours observer la faune des marais comme ici. Les meilleures observations se feront évidemment le matin de bonne heure et les jours de faible fréquentation hors période touristique. Et une bonne paire de jumelles est très utile ici.
6) Vous arriverez à la passerelle du Cul d’Âne permettant de franchir le Payré (repaire 6 du plan).
Malgré un panneau demandant aux cyclistes de passer “vélo à la main” la plupart des cyclistes passent en pédalant comme vous le constaterez sur les images suivantes . Ah la discipline bien connue des français….
La passerelle principalement en bois s’intègre très bien dans le paysage. Elle est équipée de bandes anti-dérapantes sécurisant votre cheminement en cas de pluie ou de rosée.
Le Payré vous offrira des paysages changeant selon la météo, l’heure, la hauteur de la marée.
7) Une fois le Payré franchi vous monterez le chemin menant sur le haut du Cul d’Âne (repaire 7 du plan). Si vous venez de bonne heure le matin, en plus de pouvoir admirer le lever du soleil, vous aurez peut-être la chance de croiser un lièvre ou un renard, et/ou quelques lapins sortant de la sapinière bordant le chemin.
En vous retournant sur vos pas vous pourrez contempler le paysage que vous venez de traverser.
Et en regardant vers le sud vous apercevrez les anciens marais salants de la Guittière vers lesquels vous pourrez continuer votre chemin, mais cela fera l’objet d’un prochain billet.
Nous rappellerons ici aux visiteurs que la zone que vous traverserez par cette nouvelle piste est un environnement remarquable mais sensible. Respectez cet environnement en restant sur le chemin et en étant discret. Vous pourrez découvrir beaucoup de ses facettes sans sortir de la piste. Et n’oubliez pas de ne rien laisser sur votre passage.
Le Talmondais
Destination Vendée
Nouveau film de la destination Vendée diffusé par le CDT Vendée.
Le premier plan est sur l’estuaire du Payré et la dune du Veillon à Talmont Saint Hilaire.
© / AMP INTERACTIV / Vendée Expansion — www.vendee-tourisme.com /
Randonnée au Havre du Payré
Ce dimanche matin randonnée avec la section rando du Centre Culturel du Talmondais. Départ à 9h30 de Port Bourgenay à Talmont Saint Hilaire, direction la plage du Veillon puis nous longeons le Havre du Payré et remontons vers le château du Veillon en logeant la zone ostréïcole. Heureusement le soleil nous accompagne durant toute notre promenade car nous sommes encore en hiver et le vent de sud-est n’est pas très chaud. Nous regagnons Port Bourgenay après deux heures de marche.
La Réunion: marché de Saint Paul
Le marché de Saint Paul est un incontournable à la Réunion. Vous y retrouvez les produits de l’île dans une ambiance chaleureuse au bord de l’océan. N’hésitez pas à y déguster un jus de fruits frais ou une Dodo (bière locale) accompagné de samoussas et/ou d’un rougail saucisses dans une des petites échoppes du marché.
La Réunion: cirque de Mafate
Le Talmondais est parti se promener sur l’ile de la Réunion. Cette semaine il est allé dans le cirque de Mafate.
Mafate ça se mérite qu’on m’avait dit ! Pour visiter ce cirque de la Réunion il n’y a que deux moyens: l’hélicoptère ou à pieds. En effet aucune route ne pénètre dans cet espace naturel classé au patrimoine mondial de l’humanité. Nous avons donc choisi de le visiter à pieds et sommes partis trois jours en randonnée d’ilets en ilets (petit village de quelques dizaines d’habitants. Prononcer ilette). Dépaysement complet dans ce décor naturel extraordinaire coupé du monde avec comme seul rappel de la civilisation la ronde des hélicoptères assurant le ravitaillement des ilets. Nous avons cheminé de ravines en ravines dans une végétation luxuriante changeant selon l’exposition et l’altitude. Le soir hébergement en gîtes de montagne où nous sommes très bien accueillis, avec repas créoles autour d’un verre de rhum arrangé. Voici quelques photos qui ne sont qu’un petit aperçu des beautés du cirque de Mafate. Cliquez dessus pour les agrandir.
Entrée du cirque de Mafate par la Rivière des Galets
Vue du Piton Cabris, à sa droite l’Ilet d’Aurère et encore plus à droite l’Ilet à Malheur.
Le Piton Cabris vu de l’Ilet à Malheur
Le rempart du Maïdo vu du GR2 entre l’Ilet à Malheur et l’Ilet à Bourse
Le jour se lève sur les gorges de la rivière des Galets
Le soleil se lève sur le gite de Grand Place Cayenne
L’Ilet Grand Place Cayenne vu des gorges de la rivière des Galets, le Maïdo au fond.
Jurassic Park à Talmont Saint Hilaire
Un musée à ciel ouvert : L’estivant cherchant quelques crevettes ou bigorneaux sur l’estran entre le Veillon et Port Bourgenay ne se doute pas qu’il se promène dans un musée à ciel ouvert. En effet ce site est un des plus riches en Europe en matière d’empreintes de pas de dinosaures. C’est en 1963 que Gilbert Bessonnat, ingénieur chimiste et naturaliste, découvre des marques étranges sur les dalles de calcaire découvertes par la marée. Ces traces seront identifiées par les scientifiques comme étant les pas de vertébrés vivant au bord d’un estuaire il y a quelques 205 millions d’années. De quelques centimètres à cinquante centimètres, ces empreintes à trois ou quatre doigts furent laissées par différents dinosaures carnivores ou herbivores en marchant sur le sol meuble du bord du rivage. Ce sol, par les actions géologiques naturelles, s’est solidifié et les empreintes sont restées figées dans la roche qu’est devenu le sol d’origine.
Pillage du site : Après cette découverte des centaines de ces empreintes furent prélevées du site par des scientifiques pour leurs études mais aussi par des amateurs ou collectionneurs peu scrupuleux. Ces prélèvements se retrouvent aujourd’hui sur les étagères de musée pour le meilleur des cas, ou dans des collections particulières pour le pire. Certains s’alarmèrent de ce pillage mais, en dehors d’une reconnaissance du département de la Vendée considérant le Veillon comme site géologique remarquable, rien de concret n’est fait à ce jour pour protéger le site.
Protection du site : Le site se trouvant sur l’estran son accès est libre et l’on ne peut pas le surveiller en permanence. La protection du site passe d’abord par sa valorisation et donc une information du public sur son intérêt, ses richesses et sa fragilité. Une structure d’accueil , près du site, présentant avec des explications adaptées au public estival quelques-unes de ces empreintes déjà prélevées remplirait une première étape de cette mission d’information. Les empreintes répertoriées, étudiées puis stockées jusqu’ici dans des musées seraient plus utiles maintenant visibles par le public dans une telle structure près de leur site d’origine.
Tourisme culturel : Notre beau pays talmondais possède certes de nombreux atouts touristiques mais devons-nous faire l’impasse sur le potentiel de cet espace remarquable. Dans le cadre du tourisme culturel cette richesse patrimoniale pourrait être exploitée par les collectivités locales en la valorisant grâce à cette structure d’accueil et d’informations du public. Elle apporterait un attrait touristique supplémentaire à Talmont Saint Hilaire.
Rose, Rosa, Rosam, Rosae
J’ai visité dernièrement la roseraie du parc floral de la Beaujoire à Nantes. Plus de 1500 variétés de roses y sont représentées. En ce moment ce jardin de 15 hectares dominant l’Erdre est magnifique, couleurs et senteurs sont au rendez-vous.
Avec ce bouquet de roses je souhaite une bonne fête à toutes les mamans du monde.