Dans son numéro 199 qui vient de paraître le magazine “Sciences&Vie Découvertes” parle des dinosaures du Veillon. Et pour illustrer ce numéro une photo de votre serviteur est notamment utilisée, il s’agit d’une photo d’empreinte prise sur le site du Veillon et diffusée dans mon article “Jurassic Park à Talmont St Hilaire“.
Je vous laisse retourner votre écran pour voir la réponse à la question de l’image ci-dessus…
Ce week-end le Belem a fait escale aux Sables d’Olonne. J’ai donc visité dimanche matin ce superbe 3 mats de plus de 50 mètres de long. Avec ses 22 voiles il peut déployer 1200 m2 de surface de voilure. Le Belem, dernier survivant des grands voiliers français du 19ème siècle, est classé monument historique. Il est la propriété de la “Fondation Belem“.
Voici quelques photos de ma visite.
Le Belem était amarré dans le bassin à flots, ce qui n’est pas un environnement permettant de le mettre en valeur.
Une partie du gréement du Belem.
La timonerie abrite les appareils pour la navigation et les communications.
La barre utilisée pour diriger le navire.
Tape de bouche du Belem.
Une des 250 poulies de la mature.
Le petit roof sert de carré des officiers.
Le grand roof sert notamment de pièce de réception.
La cloche du Belem.
Cordages.
Lundi matin le Belem repartait vers Brest, ce fut pour moi l’occasion de faire encore quelques photos. La sortie se fait évidemment au moteur et il est accompagné du bateau pilote. Ce fut un beau spectacle mais dommage qu’une fois dans la baie il n’ait pas déployé ses voiles.
Le Belem passe devant les quais de la Chaume
et devant la Tour d’Arundel.
Le Belem passe le Nouch
et vire vers le large.
Promenade matinale entre Port Bourgenay et la Mine. Beau temps pour faire de la marche (13°) malgré le vent de sud-ouest.
En partant du parking du port je monte les quelques marches permettant de gagner le bois de la Mine. Arrêt au niveau du blockhaus pour prendre une photo du port sous les premiers rayons du soleil.
Je me dirige vers la Mine en logeant le golf sous les magnifiques pins maritimes.
et j’arrive après 20 minutes de marche à l’anse de la Mine.
Puis je retourne vers Port Bourgenay en suivant le chemin de douaniers.
Un cargo en partance du port des Sables d’Olonne se profile vers le phare des Barges.
Le chemin sableux serpente entre la falaise et les chênes verts.
En rentrant dans le bois vous remarquerez les formes tarabiscotées prises par certains pins sous l’effet du vent.
et me revoici au port après une petite heure de marche.
Ce samedi 25 avril c’est l’ouverture du marais communal à Lairoux en Vendée. Ces prairies appartenant aux communes sont des zones naturellement inondables. Des éleveurs de bovins ou de chevaux viennent y lâcher leurs bêtes sous le regard du public. Le bétail y restera jusqu’à l’automne. Ces marais communaux, d’une surface de 245 ha, sont aussi des espaces naturels où une faune variée y séjourne notamment des oiseaux sédentaires ou migrateurs. Une flore très diversifiée est répertoriée dans ces prairies dont des espèces rares et protégées.
Les bêtes descendues des camions de transport sont d’abord parquées pour subir un contrôle vétérinaire et des soins avant d’être lâchées.
Enfin lâchées les bêtes vont trouver dans ces prairies une bonne herbe bien riche. Elles seront souvent accompagnées de cigognes ou d’aigrettes.
On peut observer les cigognes sur leur nid aménagé au sommet de pylône.
Après le Veillon voici une petite série de photos aériennes de François Gaulier prises au-dessus du port de la Guittière.
Sur la première photo la vue s’étend de l’embranchement des deux bras du Payré jusqu’à Talmont en passant par la Guittière.
La vue suivante est prise au-dessus des premiers parcs ostréicoles dans le Havre du Payré et la plage du port de la Guittière. Les marais de la Guittière sont dans l’arrière plan.
La dernière vue nous montre le Port de la Guittière, les parcs ostréicoles et les bassins d’affinage. Plus loin on découvre le marais Benest et en arrière-plan Jard sur Mer.
Avec les beaux jours l’ami François Gaulier a ressorti son ULM dernièrement et est allé survoler le Veillon et l’estuaire du Payré à Talmont Saint Hilaire (Vendée). Il en a ramené de superbes photos qu’il m’a transmises pour vous les faire partager.
Vous remarquerez les superbes couleurs sur les bancs de sable ainsi que les belles nuances des bleus et des verts des eaux.
N’hésitez pas à cliquer sur les photos pour les agrandir !
Une première série prise dimanche dernier.
et une deuxième série prise hier.
Lundi matin, à l’aube d’une journée ensoleillée sur le Talmondais, je suis allé me promener derrière le complexe des Ribandeaux à Talmont Saint Hilaire pour profiter du lever du soleil sur le bourg de Talmont et sur les marais.
Dans la brume matinale les premiers rayons de notre astre viennent éclairer l’église de St Hilaire et le bourg.
Le château de Talmont illuminé par les premiers rayons du soleil.
Quelques minutes plus tard les rayons du soleil éclairent les marais dans la vallée du Payré.
Dans notre série “Talmont d’hier et d’aujourd’hui” nous retrouvons la rue du Centre. Vous noterez que cette fois elle s’appelle “Grande Rue” sur un vieux cliché.
Sur la première vue prise au début du XXème siècle la rue est bien animée, c’est certainement un jour de foire place du Château. On y retrouve la plupart des bâtiments actuels.
De nos jours la voiture remplace les piétons.
Et en animation pour bien voir l’évolution.
Avançons dans la rue en traversant le pont du Payré. Cette fois la rue est bien plus calme au XXème siècle, les enfants pourraient y jouer aux billes sans danger.. Le pont est moins large que maintenant, mais les maisons sont presque les mêmes que de nos jours.
Et l’animation habituelle pour bien comparer.
Fin d’après-midi ce samedi entre le Veillon et Port Bourgenay. Le soleil se couche sur l’océan, voici le film:
De la pluie, de la douceur et voici les champignons qui pointent leur nez ou plutôt leur chapeau. Bolets, lactaires, agarics, amanites et autres russules poussent sous les bois où dans les prés. Une petite balade dimanche dernier dans le bois du Veillon fut l’occasion pour moi d’en photographier quelques uns car je suis toujours étonné par la richesse des formes et couleurs de ces organismes.
Je vous ferais grâce de l’identification des espèces parce que j’en suis incapable et surtout je ne voudrais pas vous induire en erreur.
